31 août 2010
Poème
Comme un petit papillon
Sa vie fut éphémère
Petit ange d’amour
Elle te fit naître Mère
Dans chaque papillon
Caressant la lumière
Des millions de poupons
Illuminent la terre
Volez, volez petites plumes légères
Tournez, virevoltez
Le souffle de vos mères
Dans vos ailes graciles
Vous êtes les témoins, en ce monde subtil
Que jamais, non jamais
Aucune vie ne se perd…
« Merci à Patrice et Béatrice qui nous ont confié le poème réalisé par la tante d’Ernestine » (sic)
Publicité
Commentaires